Et ça fait déjà un bon mois, j'avoue, pardon de vous avoir négligés, chers lecteurs.trices de mon blog.
Plus exactement, le livre a été "lancé" à Paris le 29 janvier dernier au soir, à l'occasion d'une "lecture en musique" donnée dans un lieu incroyable, le showroom de Jean-François Mitterrand. Nous étions une quarantaine — dont Antoine Guillot qui a préfacé le livre — et ce fut vraiment une belle soirée.
Depuis, le roman suit son petit bonhomme de chemin sur les sites de vente en ligne, les librairies, les salons..., et il a déjà récolté de belles critiques. En voici une :
"Ce roman est une fresque politico-sociale des années 80, mais pas que ! Alors ! C’est quoi ?
C’est une immense rétrospective de toute une période ; Stéphane AUCANTE s’est servi de ces familles pour nous offrir une palette de différentes classes sociales, mais ce roman retrace toute la période des années 1970/1990 tant au niveau politique que culturel et bien plus encore. Cette histoire s’adresse autant à ceux qui ont vécu ces années et il pourront humer le parfum nostalgique d’une époque révolue, qu’à ceux qui sont nés après et qui pourront découvrir cette période de façon plaisante. En effet, Stéphane AUCANTE ne s’est pas contenté de raconter l’Histoire, il a recrée toute l’ambiance, la politique, la culture, la musique, le cinéma, la publicité, les habitudes et les pensées, TOUT y est ! C’est souvent très drôle, parfois émouvant, de temps en temps un brin érotique !
Bref, un roman dans lequel l’auteur a livré toute une époque sans tabou, en faisant revivre tous les aspects de l’enfance, de l’adolescence, les émois amoureux, les choix, les rêves, les désillusions, les bonheurs et les chagrins… Toute une génération, une tranche de vie, qui renaît avec le charme du rétro, pour notre plus grand plaisir !
Encore un sans faute pour Stéphane AUCANTE qui réussit cette plongée dans les années Mitterrand avec toujours autant de sensibilité et d’humour… À noter que nous retrouvons Blanche, mère de Louis, dans le roman : « Blanche, 4 fois vingt ans en 2020 ».
J'avoue que ça fait du bien des chroniques comme ça...
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